ariel - we just gotta let it go

— you could be my luck
I could lift you up
I could show you what you want to see
And take you where you want to be
I could show you love
In a tidal wave of mystery
You'll still be standing next to me

nom Bernthal, patronyme de ses parents. prénom Ariel (Jean). Ses origines sont françaises, même s'il habite aux Pays-Bas depuis le début de son adolescence. surnom On l'appelle plus communément Ari. âge Vingt-trois ans. emploi/occupation Etudiant en commerce international, il a intégré une école prestigieuse pour continuer son cursus universitaire. Il est en dernière année de master. statut civil Célibataire. orientation Homosexuel. vit avec le reflet dans son miroir. situation financière Plus qu'aisé, Ari est un trust fund baby et son dernier souci est bien de gérer quelques soucis financiers. avatar Adrien Sahores.

caractère— Garçon désinvolte, Ariel a toujours caché une sensibilité particulière sous une façade plus fière, aux notes insolentes et arrogantes. Enfant élevé dans une richesse qu'il considère comme acquise tant il lui paraît impossible qu'elle ne se dilapide, il n'a jamais manqué de rien, à part peut-être de l'affection parentale de ses géniteurs, qui, elle, ne peut pas être achetée. Il en garde une rancœur qui se manifeste souvent par une humeur changeante et des coups de sangs impulsifs. Relativement instable au niveau de ses émotions, encore coincé dans un entre-deux aux allure adolescentes, il essaie de rester calme dans les situations les plus irritantes; c'est souvent bien à lui, car de cela résulte une tendance à bouder, tel un enfant capricieux, s'il n'obtient pas ce qu'il veut. Impatient, il aime que tout se fasse rapidement, sans encombres, avec efficacité. Il ne tolère pas les problèmes de dernière minute et redoute même les grains de sable dans des rouages bien huilés. Tous ces défauts ne le définissent pas en tant que personne - il reste un gamin affectueux, qui aime le contact, qui aime enlacer les gens, divertir une galerie loyale d'amis fidèles, gâter son entourage sans compter. Sociable, il adore faire partie de soirées endiablées, où il peut lâcher la pression imaginaire qu'il se met lui-même sur ses épaules encore frêles. Souvent, d'ailleurs,  il noie ses inquiétudes et anxiétés récurrentes dans des paradis artificiels, qui ne sont pas la solution. Sa seule ambition est de trouver un équilibre, après lequel il court depuis des années.

du vrac son dernier mensonge "It's not you, it's me." Une pirouette pour se sortir d'une relation qui ne lui plaisait pas, plus.  style vestimentaire Casual chic. Entre le décontracté et élégant. le dernier plat raté Ari ne rate pas de plats car il commande régulièrement à livrer. Moins de risques de rater des plats. un secret à garder Il n'est pas étranger des services de police. son plus gros regret Qu'il ne soit pas assez intéressant pour que ses parents ne s'occupent de lui. son dernier achat Une montre à $12,000. sa relation à sa famille Ari a déménagé au Pays-Bas vers l'âge de douze ans. Ses parents, trop occupés par leurs jobs respectifs, ont choisi de le mettre en pension aux Pays-Bas, déléguant leurs responsabilités parentales à l'oncle/la tante d'Ari, domicilié à Amsterdam. Depuis, il ne les croise qu'annuellement. Ils lui fournissent l'argent nécessaire pour vivre confortablement, mais ils ne s'intéressent que brièvement à ce qui se passe dans la vie de leur enfant unique. un défaut agaçant Anxieux, il se ronge les ongles du bout des dents et a toujours un doigt coincé entre celles-ci. Oh et il fume.

Sourire en coin accompagnant la cigarette qui se baladait sur ses lèvres, il soupira d'une aise inhabituelle en se penchant au dessus du balcon. Du second étage, il distinguait le jeune garçon du restaurant qui semblait batailler avec la sacoche de son vélo. Son sourire s'agrandit sur son visage et avala une dernière bouffée de nicotine avant d'écraser son mégot dans le cendrier, attendant sagement le bruit du buzzer de la porte d'entrée. Il ouvrit sa porte, vérifia dans le miroir de l'entrée qu'il ressemblait à quelque chose. Passa sa main dans ses cheveux et accueillit Jimi avec un sourire. «  Hey. » Attrapant son portefeuille sur la commode, il compta les billets et prit le sac que lui tendait le jeune Sung. «  Thanks for that. Enjoy your night. » Leurs sourires s'entrecroisèrent et il haussa un sourcil en le voyant tourner les talons. «  Wait! » Fouillant dans le petit portefeuille, il sortit un billet et le tendit à Jimi. «  Here for you. » Le regard de Jimi se posa sur la petite coupure et avant qu'il ne puisse dire quelque chose, Ariel se pencha et murmura: «  Don't tell the other delivery boys, they'll get jealous. » Un petit rire s'échappa d'entre ses lèvres et il agita le billet sous ses yeux, le temps qu'il ne l'attrape. «  And don't protest. Without you, I'd starve. » Ari lui fit un petit clin d'œil complice. Jimi Sung, lui livrant sa nourriture favorite, c'était son rituel. C'était comme si Jimi faisait partie de ses amis. Et aujourd'hui, il se rendit compte que son sourire embarrassé était craquant. «  See you soon. » affirma-t-il en penchant la tête, son regard défilant sur les joues rougies du plus jeune, avant de refermer la porte une fois que le garçon s'était enfui.